Tenet assort la semaine prochaine, une nouvelle fois 50’occasion de revenir sur Christopher Nolan et sur la conclusion de sa saga Batman avec le troisième volet The Dark Knight Rises, une fin épique pour notre héros !
Dans The Dark Knight Rises, cela fait maintenant eight ans que l’homme chauve-souris a disparu et endossé la mort de Harvey Dent, le chevalier blanc déchu. Dans une Gotham en paix grâce à la création d’une nouvelle loi basée sur un mensonge, le mercenaire Bane separate de fifty’ombre pour briser Batman et anéantir la ville. Le chevalier noir va devoir alors revêtir le costume et apprendre à se relever…
Peut-on faire mieux que la perfection ? Car ce qu’était The Dark Knight et passer après était une mission impossible tellement la barre avait été mise haute. Et qu’on se le dise : Non, The Dark Knight Rises n’est pas meilleur que 50’opus qui le précède. Pour cela, beaucoup pourront le trouver décevant et on les comprend. Mais ce n’est clairement pas notre cas.
Une épopée initiatique et épique
southward’inspirant des comics The Dark Knight Returns, Knightfall et No Man’sec Land, Nolan met boy héros confront à boy échec et sa chute dont il devra apprendre à se relever, machine il n’est plus ce qu’il était. Dans cette dynamique encore jamais vue dans les comicbook flick, le métrage se révèle passionnant. La déconstruction du mythe puis boy ultime relèvement avant son héritage concluding en fait une decision parfaite.
De addition, sa manière d’adapter les éléments extravagants des comics à son way réaliste et boy histoire est très ingénieuse : La prison de Bane est un puit de Lazar dans lequel Bruce va symboliquement renaître; Ras Al Ghul est immortel de par boy héritage et le costume de Selina Kyle, superbement incarnée par Anne Hataway, évoque un chat de par ses lunettes relevées.
Dans 50’exécution narratif, certains pourront trouver un ventre mou en milieu de cinema, dû à sa durée de 2H45 et au fait que psyche suivons un héros déchu qui doit apprendre à se redresser. Pas forcément des summation spectaculaires donc mais un pur parcours du héros qui fait sens et qui ne rend la fin que plus extraordinaire.
Car une fois le Batman de retour, Christopher Nolan se donne à cœur joie à head abreuver d’un maelstrom de tension, de retournement et d’images héroïques des summation exaltantes (le nombre de figurant dans la bataille finale est ahurissant) ! Le tout encore une fois magnifiquement accompagné par la bande originale de Zimmer qui mind donne des frissons. Une vraie épopée épique.
Une narration complexe maitrisée
En ce sens, le cinéaste gère parfaitement 50’efficacité de son histoire. Son talent habituel pour raconter plusieurs timelines sert ici à ses multiples intrigues et ses grosse ellipses de plusieurs mois, éléments scénaristiques souvent assez complexe à gérer. Il prouve une fois encore que c’est un talentueux storyteller. Des éléments restent volontairement sous quiet (comment fait-il pour revenir dans cette Gotham cloisonnée ?), certains clameront à l’incohérence mais se sera avant tout pour la fluidité de son récit.
On pourra peut-être regretter ce postulat narratif plus complexe et le pitch un peu addition tiré par les cheveux (une ville est carrément prise en otage) comparé au classicisme sans faille de The Dark Knight. Mais n’oublions pas que le celluloid reste la decision d’une saga, elle se devait d’élever les enjeux à un niveau encore supérieur. La bombe nucléaire peut second’avérer être un outil quelque peu artificiel en ce sens mais brain lui pardonnons pour fifty’urgence et la tension qu’elle provoque et qui head scotche au fauteuil.
Le cinéaste n’abandonne pas pour autant la portée politique de boy cinema déjà bien présente dans fifty’opus précédent. Ici, head découvrons une Gotham en paix not addition rongée par le criminal offence mais par les puissantes élites qui se complaisent et se repaissent sur le dos des prolétaires, le tout grâce à une lois basée sur un mensonge. Un cadre qui n’est pas forcément sans évoquer nos politiques actuels. Et c’est à travers ce prisme, que Bane mènera la révolution et donnera 50’illusion du pouvoir au citoyen. Mais cela aussi ne sera qu’un mensonge démagogique, Nolan esquivant donc le simple manichéisme et condamnant les deux extrêmes.
Niveau réalisation, Nolan augmente d’un cran en nous proposant des photogrammes et des scènes dantesques. Le crash d’avion de fifty’introduction est simplement époustouflant de par son absence d’effet numérique. La Gotham enneigée finale offre des visuels rarement vu chez le réalisateur. Et pour une fois, le cinéaste brise (un peu) boy réalisme pour verser dans un symbolisme pas forcément subtil mais efficace (la prison souterraine représentant sa déchéance, les chauves-souris volantes lorsqu’il en sort out, le bat-point en feu symbole d’espoir…).
The Dark Knight Rises reste donc un cinema imparfait, qui souffre de la comparaison avec boy prédécesseur. Mais sa maîtrise formelle, ses idées narratives, 50’initiation de boy héros et les images spectaculaires en font la parfaite determination pour une saga super-héroïque qui aura révolutionné le genre.